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Jean-Pierre Luminet est un éminent scientifique à la réputation internationale dont la vocation, comme pour tout scientifique digne de ce nom, est avant tout de ne pas "coller" à ce qui, bien souvent, n'a que l'apparence de la vérité. Savoir repérer les sophismes, dénicher les biais cognitifs, les arguments d'autorité, les dogmes sous-jacents, les conflits d'intérêts, les manipulations en tous genres, est un prérequis pour les chercheurs de son envergure, mais aussi pour quiconque veut atteindre une objectivité dont on sait qu'elle est sans cesse menacée. Du 26 mai 2014 au 7 octobre 2023, Jean-Pierre Luminet nous fait part de ses ravissements, de ses interrogations, de ses inquiétudes, de ses regrets, mais surtout de ses colères à une époque où il semblerait que ses dernières ne puissent être 'admissibles" que dans un camp...celui du "Bien autoproclamé" dont la source est à chercher outre-Atlantique. La question que nous sommes alors en droit de nous poser est la suivante : "Pourquoi donc les siennes ne seraient-elles pas légitimes ?". Vous n'aurez pas ici ce que vous attendez, si vous ne souhaitez vous nourrir que de propos consensuels et angéliques bon marché.
Comme vous pouvez l'imaginer, le personnage principal de cet ouvrage est le téléphone portable. Le texte n'est pas exactement à sa gloire. Par son biais et celui de la famille imaginaire où il prend toute la place, Rémy Saint-Michel tente de suggérer une réflexion autour des très nombreux dérèglements qu'il occasionne, tant dans la sphère privée que publique.
Elle n'était décidément pas une plante comme les autres et Marie l'aimait plus que toute autre. Elle était digne d'une majuscule qui ne marquerait pas le début d'un propos à la suite d'un paragraphe, mais bien plutôt de celles que l'on n'attribue habituellement aux divinités, au entités numineuses. Je m'engageai donc sans plus attendre à respecter les détails de l'autel où elle avait solennellement déposé La Légendaire; celle dont elle me dit très vite qu'on... "L'élevait".
Tout a commencé sans que je puisse me rappeler quand, ni comment. Il aura suffit que je me rapproche timidement de mon ordinateur pour que le souvenir de ce départ inopiné s'éloigne de moi à la vitesse de la lumière. C'est très souvent le cas. Une bonne idée me vient-elle à l'esprit qu'elle disparaît dès lors que je prends un stylo pour la noter ou me saisis de mon téléphone portable pour l'enregistrer vocalement.
COLLECTION MICRO
Ce micro-essai n'a pour autre ambition que de faire venir à l'esprit de ses lecteurs l'idée d'une immortalité issue en droite ligne d'un subjectivisme qu'à ce jour, l'idéologie "woke" brandit contre les évidences biologiques dès lors jugées non-déterminantes. Au nom du Sujet tel qu'il est à ce jour défini, il n'est désormais plus absurde de poser l'éternité de la conscience en tant qu'espace conscientiel, dont le propre est de ne pas avoir de contraire. Mais lisez plutôt !
COLLECTION CHIHUAHUA
As-tu rêvé un jour de vivre en forêt ? De décrouvrir des grottes habitées par d'étranges créatures et de connaître de folles aventures ? Oui ? Alors tu tombes à pic !Suis pas à pas, au fil des pages, les deux oursons malicieux DADJOU et ARCOU qui passent partout et ne craignent rien du tout, sauf qu'ils n'avaient pas prévu tout ce qui allait leur arriver...
COLLECTION POIÉÔ
On s'émerveille de vérifier aujourd'hui que tels* déserts, qui jadis furent de fraîches oasis, portent à nouveau la vie. C'est que l'espoir y a planté des arbres. Geneviève Deplatière sème des mots contre les vents et les marées des séïsmes qui cruellement érodent la chaîne des miracles. Elle tend son attente vers ce qui palpite encore sous les décombres, tente de chercher obstinément un gué pour atteindre le chant des possibles, afin d'y tramer un « frisson d'inachevé », justement parce que « la beauté ne tient qu'à un fil ». Elle persiste dans l'inaltérable foi que « [ses] pas muets empreints de transparences blessées auront des éblouissements d'ange ».
"À l'occasion d'une rupture, ce n'est pas seulement un être que l'on perd, mais un monde. L'aimé n'est pas une abstraction que rien n'environnerait, il est une prégnance au sein d'un tout. Lorsque l'on sait que " prégnant " en anglais veut dire " enceinte ", allons jusqu'à prétendre que c'est ce tout même qui porte en son sein la personne chérie sans jamais l'expulser tout à fait. Si le deuil d'une relation privilégiée est si difficile à faire, c'est qu'à bien comprendre ce que j'écris plus haut, la rupture nous condamne à l'im/monde et tend à nous virtualiser. Tout comme l'individu, l'autre "détachable" est un mythe ; il n'existe que des imbrications, des agrégats. L'on ne perd jamais un être, mais c'est en un sens le monde qui le portait et le rendait visible qui s'écroule avec nous lorsqu'une histoire d'amour s'achève avec plus ou moins de fracas".
Cet ouvrage vous transportera vers des horizons inexplorés. Il vous invitera à lever les yeux vers le ciel et à vous émerveiller de la magie qui l'anime. Ne vous êtes-vous jamais pris à deviner des visages ou des formes familiales en regardant attentivement des nuages ? Saviez-vous que l'on appelle ce phénomène la paréidolie ? Alors laissez-vous guider en direction des étoiles et risquez-vous à voyager avec l'auteure qui n'écrit pas plus haut que son coeur et découvrez... ses âmes-en-ciel.
"Il est des victoires qui ne s'obtiennent qu'avec le désespoir, un sentiment acquis très tôt, et qui, en même temps qu'il laisse son empreinte gravée dans l'âme, donne le savoir obscur d'une résistance unique, un genre de talent noir."
Dans ce roman contemporain mêlant dépit amoureux et fascination pour le Mal, deux sorcières modernes, Edith et Maé, s'affrontent. La figure de Jeanne des Anges, supérieure des Ursulines possédées de Loudun (1632), leur sert de guide pour semer le chaos au sein de leur entourage. L'amour déçu de Jeanne pour le prêtre Urbain Grandier, qu'elle enverra au bûcher, guidera Maé dans son projet fou de mettre un homme à mort. Un livre dérangeant aux résonances actuelles.
En France, 650.000 personnes sont atteintes de schizophrénie, 2 millions d'une maladie psychique et plus de 5 millions sont directement impactées par le handicap psychique d'un proche; notammement les familles qui sont très généralement empoisonnées par un sentiment de culpabilité et ont besoin d'être entendues. En parler est urgent. C'est le message que j'ai souhaité passer en écrivant ce livre; un message d'espoir. Nous pouvons tous être plus forts que cette souffrance. Ensemble, nous sommes à même de ne plus la vivre comme une fatalité.
Quant à moi, je puis dire que mon frère Alain m'a ouvert l'esprit; à la façon d'un artiste, et sans le savoir, il m'a fait découvrir qu'une poire pouvait être en bois...
Paul n'a pas vu le temps passer. Comme tant d'autres, il a été pris par surpise, il aurait aimé que les années soient plus longues... Les jours, ni les nuits, ni les heures n'ont suspendu leur vol. Même les gens heureux sont passés et passeront à leur tour. Il a atteint cet âge où les plus jeunes peinent à vous imaginer gamin ou amoureux, en culottes courtes et le visage barbouillé de cerises trop mûres; cet âge où l'immortalité se dérobe en même temps que l'éternité s'avance incertaine. À lui aussi c'est arrivé... et sans prévénir; comme un vilain rhume en plein été. À lui aussi le mauvais coup des rides; celles des autres. C'est à ses amis d'enfance qu'il doit ce chagrin-là; à leurs génitures, à leurs épouses, à la vie toute chronologique qu'ils ont menée quand il voudrait la sienne toujours en désordre, aux pas de ses désirs intacts.
D'aucuns ne manqueront pas de critiquer sévèrement le concept original, voire inédit de ce livre. À l'époque des selfies compulsifs, on pourrait en effet confondre cet exercice avec celui des Narcisse que notre société de surconsommation fabrique à la chaîne, mais détrompez-vous !
Cette entrevue singulière n'est que la mise en forme, à peine provocatrice, de la définition socratique de la pensée, à savoir : un dialogue de l'âme avec elle-même.